samedi 2 avril 2011

Qu'est ce qu'un Philopyge ?

LE TOME 2 EST PARU !



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Les philopyges
envoyé par tcrouzet1. - Films courts et animations.

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MAIS QU'EST CE QU'UN PHILOPYGE ?

philopyge, nom et adj. (du grec philein, aimer, et pugê, fesse). Poète ou écrivain farceur et libertin, s’étant particulièrement illustré pendant l’Affaire Dreyfus.
Ex : Le philopyge est la plus noble conquête de la callipyge.
Encycl. : Des études approfondies tendent à démontrer que le mouvement philopyge existe depuis la plus haute Antiquité, et qu’il est encore actif de nos jours.

(Dictionnaire des ’tits mots jolis.)

ET QUE FONT LES PHILOPYGES ?

Dans ce roman découvrez des choses soigneusement cachées depuis plus d'un siècle: la vérité sur la mort galante du président Félix Faure, dont le film pris sur le vif existerait encore dans les archives de l'Elysée, la vérité sur les complots d'extrême droite de la Belle Epoque et les raisons de leur échec, la mort suspecte du poète Stéphane Mallarmé, les liens secrets entre l'Affaire Dreyfus et certaines "bavures" des conquêtes coloniales en Afrique de l'Ouest... Et bien d'autres révélations croustillantes: abbés concupiscents, poètes cocus, et j'en passe...


QUATRIEME DE COUVERTURE DU TOME 1, PAR L'EDITEUR:

"Nos philopyges de 1898 sont un groupe d’écrivains libertaires, de journalistes francs-maçons et d’intellectuels sodomites. Voulant déjouer le complot fomenté par quelques politiciens « patriotes » et généraux « courageux » pour s’emparer du pouvoir, ils se lancent dans une bataille occulte et imaginative. Aidés d’un abbé du Quartier latin, d’un cambrioleur anarchiste, de la fille d’un grand avocat et d’une prostituée callipyge, ils fomentent même un attentat « à la bombe sexuelle », qui causera, comme on le sait, la mort de Félix Faure, président de la République…
Ils croisent de nombreux autres personnages réels du Paris politique et littéraire, que l’on n’appelle pas encore people, et qui sans doute n’autoriseraient pas ces pages « biographiques », marquées au coin de l’ironie, voire de la satire.
Un roman-feuilleton plein de rebondissements, largement assaisonné d’humour et d’érotisme – et truffé de clins d’œil à notre époque – solidement documenté néanmoins, dénonçant à sa façon l’esprit cocardier, colonisateur, antisémite et petit-bourgeois de cette fin de siècle. Jubilatoire."


350 pages 19 euros.
http://www.editions-singulieres.fr/
Code ISBN : 978-2-35478-048-7

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Antoine Barral
LES PHILOPYGES, tome 1
"La conjuration des patriotes" Code ISBN : 978-2-35478-048-7
Editions Singulières.

DISPONIBLE EN LIBRAIRIE, privilégiez votre libraire de ville ou de quartier, ou LECHOIXDESLIBRAIRES.COM

sinon SUR AMAZON.FR, SUR FNAC.COM, FNAC.BE, CHAPITRE.COM ...

ou en version numérique pour iPad.
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N'hésitez pas à me laisser des messages ou des questions, ici ou par mail à l'adresse:

antoinebarral_auteur(arobase)yahoo(point)fr

Antoine Barral

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Et en cadeau, l'hymne de la section colombienne de l'Internationale Philopyge:





Le Courrier de Genève, édition du 11 septembre 2010



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4 commentaires:

  1. COMMENTAIRES RECUPERES SUR L'ANCIENNE VERSION DU BLOG:

    Anonyme a dit…
    je découvre avec beaucoup de curiosité et d'intérêt cet univers littéraire, entre histoire et onirisme... envie d'en savoir plus !
    où pourra-t-on acheter le roman ? existe-t-il déjà en version électronique ?
    bob49
    26 février 2010 01:40
    Corinne a dit…
    Piquant mélange de précision historique documenté et de marivaudage dont les personnages féminins tiennent la vedette... Vous en apprendrez sur tous et toutes ! A lire ou relire vite.
    8 mars 2010 09:20
    Antoine a dit…
    Un ami écrivain m'envoie ce message : "Ton livre m'attendait patiemment sur ma table de nuit. (...) À mon habitude, j'ai ouvert au hasard et... eh bien, le hasard fait bien les choses, c'est connu et je n'ai pas eu besoin de lire cinquante pages pour être emporté par ton verbe torrentiel. Emporté, c'est le mot, car, outre l'humour permanent qui inspire le propos et qui nourrit un décalage auquel on ne s'attendait pas, c'est bien la langue qui nous tient et nous aspire sans cesse vers l'avant, sans qu'on sache (et c'est c'est tant mieux) où l'on va.J'avais deviné à travers le texte que tu m'avais présenté, cette capacité à délirer que tu proposes à ton lecteur, mais ici, ça se confirme."
    26 juin 2010 04:56
    Anonyme a dit…
    antoine barral ... un poète qui s'ignore
    quelles dont les modalités et sélections d'entrée de jeu pour s'inscrire dans la secte que vous représentez ?
    27 juin 2010 14:25
    Antoine a dit…
    Chers anonymes, signez vos commentaires pour avoir des réponses personnalisées ;-)
    15 juillet 2010 08:46
    Antoine a dit…
    Message reçu d'une amie, qui est écrivain:

    " j'ai lu en Corse ton livre et je me suis régalée! Je t'en dirai plus de vive voix. Merci pour ce plaisir.
    Janine.T."

    ça fait du bien !
    22 juillet 2010 06:54
    Antoine a dit…
    Si vous avez lu et aimé mon livre, et qu'en plus vous n'êtes PAS écrivain, votre commentaire est particulièrement attendu ici ;-)
    23 juillet 2010 01:10
    Antoine a dit…
    Autre commentaire d'une amie, écrivain elle aussi:

    "Je viens de terminer Les philopyges tout à l'heure(...). ça déménage! le rythme est vraiment bien et on a envie de connaître la suite. Bon, un peu trop de cul pour moi, (...) cependant bien amené. Je te le dis franchement, c'est vraiment un bon livre."

    Il n'y a donc que des écrivains pour me lire ?
    10 août 2010 01:54
    Antoine a dit…
    Reçu ceci par mail :

    "Bonjour Antoine,
    me revoilà revenu du Cameroun et je repars pour quelques jours de relax en Sardaigne avec mes filles.
    Lire Les Philopyges étendu sur un lit de bambou en pleine brousse africaine cause des effets inattendus. Voir: les difficultés à s'imaginer les cafés parisiens de fin 1800, voir les propositions indécentes que je me suis surpris à faire aux copines qui m'entouraient... Bref, passons!
    Je me permets de faire des petits commentaires:
    1. Je trouve que le tout est très bien conçu et orchestré.
    2. Le fait que l'argument principal soit aussi peu "saisissable" (on rebondit volentiers entre politique, coutume du désir, construction de personnages et pensées); est un vrai atout.
    3. L'écriture est captivante. (mais je crois que ce n'était pas moi que tu attendais por le savor...)
    4. Voilà: seulement - et je crois te l'avoir déjà dit lors de ton dernier envoi de début de roman - je trouve que il y a garniture de personnages, tous avec leur petite histroire personnelle que tu empiffre de détails, qui détournent un peu l'attention et n'ajoutent pas grand chose au tout.

    Vraiment - c'est juste pour faire une critique pour que tu ne dise pas que je ne fais que des compliments à la sincérité douteuse à un vieux camarade de lycée...

    Continue et ne manque pas de me signaler la suite!!!!

    Leonardo

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  2. ET QUELQUES AUTRES :


    17 août 2010 04:19
    Antoine a dit…
    Hélas, je n'arrive pas aux 100% de satisfaction de mes lecteurs, comme en témoigne ce message reçu via Facebook. Je remercie quand même cette lectrice qui s'est donné la peine de m'écrire en toute franchise.

    "Cher Antoine, j'ai lu... Je ne suis pas follement emballée, désolée. La sensation de n'apprendre rien sur rien, c'est embrouillé au niveau des personnages - soit le lecteur connaît et n'apprécie pas les impasses, soit il ne connaît pas et son information est bien trop imprécise -. On sent la volonté de relier cette période troublée de l'aube du XX° à ce qui se passe en ce moment, le propos nous conduit au mieux à un consensus de bon aloi... Quand à la gymnastique philopygienne qui revient à intervalle régulier, mécanique dans sa scansion, hypertechnique et dénuée de sensualité dans l'action, telle la pincée d'épice sensée raviver les sens du lecteur, pis, prétendre faire son éducation : bof !
    Dommage, je n'ai même pas envie de connaître la suite...
    La critique est très facile et je vous demande bien pardon, il me semble cependant qu'il ne manque pas grand chose pour que vous maîtrisiez votre art : moins de rondeur et de gommage dans le propos politico-historique, plus de suavité et de vrai bonheur dans la sexualité. Vraiment, je leur trouve le cul triste !
    J'ai beaucoup apprécié notre conversation à Montpellier lors du salon du Livre, : je suis persuadée que vous pouvez être plus acerbe, plus provocateur.
    Reste la question : cela se vendrait-il ?
    Bien amicalement à vous
    Evelyne"
    17 août 2010 04:51
    Antoine a dit…
    Encore un message d'un ami:

    "Cher Antoine,

    J'ai profité des vacances pour lire ton roman. Si les critiques de Traimond méritent d'être prises en compte, en partie, je trouve qu'il y a une foultitude de choses remarquables, des idées très brillantes. J'ai bien aimé la scène du duel et j'ai trouvé que le thème de Dreyfus est traité de manière lancinante, ce qui est une qualité rare.

    Cordialement

    Ronald"
    21 août 2010 08:28
    Antoine a dit…
    Et celui là:

    " Je viens de terminer ton bouquin : bravo Antoine, j'ai adoré.C'est leger et petillant comme du champagne, tous tes clins d'oeil à Brassens ,à Barbara ....et aux autres ....un régal! Moi j'attend la suite.............
    Ps :Tu as raison tous les écrivains sont des cochons!!!!

    Jacquie B."
    22 octobre 2010 09:57
    Antoine a dit…
    Un autre:

    " Moi je l'ai commandé sur le site de la fnac, livré en une semaine; je l'ai bientôt fini, et je vous le conseille !

    Christian R."

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  3. 22 octobre 2010 09:58
    Antoine a dit…
    Une autre un peu moins enthousiaste, mais tout de même positive:


    "Salut Antoine,

    J'ai fini ton livre. En préambule, il faut que je te dise que je ne l'aurais jamais acheté si tu n'étais pas l'auteur car le sujet ne m'intéresse pas... Mais finalement je l'ai lu avec plaisir, l'écriture est bien rythmée. Par ailleurs c'est bien documenté. J'ai un peu regretté que les personnages ne soient pas assez attachants - à part Lulu. Malgré le prologue, je ne tremble pas assez pour la suite des aventures d'Alexandre ! En tant qu'anarchiste, cela me paraît une option très défendable de ne pas le mettre en avant, en tant que lectrice cela me paraît un peu dommage.
    Voilà ma fiche de lecture.
    Je t'embrasse
    Brigitte"
    22 octobre 2010 10:03
    Antoine a dit…
    Quelques commentaires d'une lectrice de Bruxelles, reçus au fil de sa lecture:

    "A moi cette lecture a priori bien réjouissante ! Quelques têtes de chapitres lus dans le tram m'ont déjà bien fait rire. Ça promet !"

    "C'est bien parti, en tout cas : j'ai commencé hier soir : c'est enlevé, c'est drôle ! Franchement, de cette dérision que j'adore et qui consiste à ne jamais se prendre au sérieux, mais avec la complicité du lecteur pour la réussite pleine et entière de tes mauvais coups.
    La suite ce soir, j'en pouffe d'avance, j'en pouffe encore en repensant (déjà) à certaines lignes ! Sacré Antoine !"

    "Coucou,
    Je m'amuse toujours autant à la lecture de ton livre.
    Rassure-toi donc, je survis, y compris aux passages torrides ;-)))"
    20 février 2011 10:05
    Anonyme a dit…
    Bonjour Antoine,
    J'avance lentement dans les Philogypes, comme dans un maquis. C'est touffu, il y en a dans tous les sens et je n'y perds facilement avec ma petite cervelle usée.
    Mais ne crois pas que ce soit un reproche... car j'aime me perdre dans ces inextricables petites joies.
    Merci.
    Lilian

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  4. Muy interesante tu web-site y sus muchas "petites joies"; no domino 100% el francés, pero para leer me las arreglo. Un abrazo, JV

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